Voici ce que nous aimerions que le lecteur de cet article retienne comme message : « Propagez la bonne parole! » Notre bassin de membres n’est pas très grand, mais par contre, le nombre de dossiers que nous traitons et qui répondent aux critères de violence en milieu de travail est consternant.
Les gens qui subissent des abus durant leur journée de travail rentrent chez eux, envahis d’un stress insupportable. Ce stress leur fait gaspiller un temps précieux qu’ils auraient pu utiliser à des activités familiales et leur fait perdre le contrôle de la situation, ce qui compromet leur qualité de vie. Certaines personnes tentent d’éviter la confrontation en utilisant des jours de congé de maladie comme palliatif. Malheureusement, après avoir épuisé leurs jours de congé, ils doivent rentrer au bureau, voire perdre leur emploi. C’est alors un retour à la case départ, car leur situation n’a pas changé d’un iota. D’aucuns penseront que la réaction de ces personnes n’est pas logique, mais il ne faut pas perdre de vue qu’il est difficile de penser rationnellement sous l’emprise de la peur.
Les consultations avec le syndicat sont totalement confidentielles et rien ne se fera sans votre approbation.
La plupart des solutions ne prévoient aucun grief.
À tout le moins, explorez les possibilités qui s’offrent à vous. Vous pourriez être surpris.