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Ressources pour les membres

Où vous adresser par ces temps plus difficiles?

Nous espérons que nos membres n’auront jamais à recourir au programme d’aide ci-dessous. Toutefois, on ne sait jamais quand la maladie va frapper ou quand un autre événement pourra les rendre inaptes au travail, et ce, peu importe la durée. Il se peut qu’il y ait un certain temps qui s’écoule en attendant que la demande d’indemnisation assurance-emploi aboutisse; il pourrait aussi y avoir un délai d’attente qui n’est pas couvert et, finalement, la Sun Life prendra au moins douze semaines pour traiter une demande. Si les membres se retrouvent en état de crise, sans jours de congé pour maladie et sans sources de revenus, ils pourraient trouver un soutien auprès de programmes comme celui-ci. Les membres peuvent contacter leur représentant syndical qui peut les renseigner sur toutes les ressources disponibles dans leur région.

1) La méthode Centraide – Le programme Nouveaux départs vient en aide aux sans-abri, aux gens aux prises avec des problèmes de santé mentale ou personnes souffrant de dépendances, à obtenir le soutien dont ils ont besoin; il aide les gens et leur famille à obtenir le soutien et le traitement pour pouvoir surmonter les crises (http://www.unitedwayottawa.ca/English/About%20us/turning%20lives%20around.php).

Voici un extrait du site Web d’Entraide qui traite de leur façon d’aider à entamer un nouveau départ :

NOUVEAUX DÉPARTS

AMÉLIORER LES CONDITIONS DES SANS-ABRIS, DES JEUNES AUX PRISES AVEC LA TOXICOMANIE ET DES PERSONNES ET FAMILLES CONFRONTÉS À LA PAUVRETÉ, LA MALADIE MENTALE ET LA VIOLENCE

Pour bien des gens dans notre communauté, vaquer à leurs activités quotidiennes peut être éprouvant. La pauvreté, les maladies mentales, le sans-abrisme, la violence familiale et la criminalité laissent beaucoup de traces.

Pour offrir un nouveau départ, nous portons notre attention sur trois aspects :

• Aider les sans-abris à trouver un logement par nos initiatives.

• Aider les personnes atteintes de maladie mentale et les toxicomanes à obtenir les services de soutien dont ils ont besoin.

• Assurer le soutien et la thérapie des personnes et familles en situation de crise.

Aider les sans-abris à quitter la rue

Pourquoi cibler cet objectif?

Il en coûte 100 000 $/an en frais médicaux, sociaux et judiciaires pour les sans-abris. Pour 18 000 $/an, il est possible de loger une personne sans abri de façon permanente.

Aider les sans-abris à quitter la rue leur apporte la sécurité, une vie de meilleure qualité et la possibilité de s’attaquer aux causes fondamentales de leur indigence.

Notre objectif communautaire

Aider les sans-abris à quitter la rue et à prendre un nouveau départ

Mesurer notre succès

Centraide Ottawa collabore avec les gouvernements, intervenants, organismes communautaires et partenaires pour déterminer la manière définitive de mesurer ses progrès à ce chapitre.

Ensemble, nous …

Concertons nos efforts avec des fournisseurs de services afin de dispenser un soutien par notre modèle de « logement d’abord ».

Aider les personnes atteintes de maladie mentale et les toxicomanes

Pourquoi cibler cet objectif?

• 20 % d’entre nous connaîtrons des troubles psychologiques durant notre vie;

• 85 % des adultes toxicomanes ont commencé à abuser de drogue ou d’alcool avant l’âge de 18 ans.

En facilitant pour les personnes atteintes de maladie mentale et les toxicomanes l’accès aux services d’aide nous pouvons diminuer les chances que leur situation ne s’aggrave.

Notre objectif communautaire

Mettre les personnes atteintes de maladie mentale et les toxicomanes en rapport avec les soins dont ils ont besoin.

Mesurer notre succès

Centraide Ottawa collabore avec les gouvernements, intervenants, organismes communautaires et partenaires pour déterminer la manière définitive de mesurer ses progrès à ce chapitre.

Ensemble, nous …

• Investissons dans les programmes et services qui favorisent la guérison, la résilience et la récupération;

• œuvrons avec nos partenaires pour renforcer les programmes de prévention et d’intervention en matière de toxicomanie dans les écoles;

• œuvrons avec nos partenaires en vue d’améliorer la coordination et la collaboration des fournisseurs de services et d’autres intervenants.

2) Destination: Chez-Soi (http://www.destinationhome.ca/index.php?page=progress&hl=fr)

Depuis le lancement de Destination: Chez-Soi l’année dernière, notre communauté s’est solidarisée par l’entremise de divers partenariats afin de trouver des logements et des services de soutien pour plus de 200 sans-abri chroniques – atteignant ainsi les objectifs établis par le Forum du leadership sur le sans-abrisme dans son plan d’action sur dix ans.

Progrès

L’année 2009/2010 a été marquée par de grandes réussites pour les sans-abri chroniques et les organismes de service dont la mission est d’aider les plus vulnérables, et pour l’ensemble de notre communauté. Le Forum du leadership sur le sans-abrisme est fier d’y avoir contribué.

Voici des chiffres éloquents :

INITIATIVES EN MATIÈRE DE LOGEMENT

100 unités de logements réservés par Logement communautaire d’Ottawa et la Corporation des citoyens d’Ottawa centre-ville (CCOC) pour loger les sans-abri chroniques.

1 million de dollars en subventions annuelles de la part de la Ville d’Ottawa dans le cadre de son Programme de soutien au logement social, permettant de fournir des services de soutien à 100 personnes sans-abri chroniques.

8 services sociaux et fournisseurs de logements se sont regroupés afin de fournir des logements et des services de soutien aux 100 premières personnes logées : Logement communautaire d’Ottawa, CCOC, CMHA Ottawa, Horizons Renaissance, John Howard Society, Options Bytown, Ottawa Salus et Centre de soins de santé mentale Royal Ottawa.

5 établissements d’enseignement supérieur, soit l’Université d’Ottawa, l’Université Saint-Paul, l’Université Carleton, le Collège Algonquin, et la Cité Collégiale, ont uni leurs efforts afin de présenter le premier événement du Projet soutien aux sans-abri, sur le campus de l’Université d’Ottawa, le 14 mai 2010.

3) Le programme Ontario au travail est financé par le Ministère des Services sociaux et communautaires de l’Ontario

http://www.mcss.gov.on.ca/fr/mcss/programs/social/ow/index.aspx

Ce programme peut offrir une aide financière provisoire pour couvrir les besoins de base comme la nourriture, le logement et, dans certains cas, des soins médicaux.

En Québec :

4) Compensation pour les prestataires de l’aide financière de dernier recours sans abri

http://www.mess.gouv.qc.ca/solidarite-sociale/programmes-mesures/sans-abri/admissibilite.asp

Admissibilité

Pour 2011, les personnes seules et les familles monoparentales qui seront sans abri et prestataires de l’aide financière de dernier recours le 1er octobre 2011 auront droit à la compensation.

Pour 2012, les personnes seules et les familles monoparentales qui seront sans abri et prestataires de l’aide financière de dernier recours le 1er juin 2012 auront droit à la compensation.

Une personne ou une famille est considérée sans abri si elle est dans au moins une des situations suivantes :

• elle n’a pas d’hébergement stable pour les 60 prochains jours;

• elle est hébergée par un organisme communautaire qui offre des services ou un refuge aux sans-abri;

• elle n’a pas d’adresse fixe.

Remarque : Les prestataires de l’aide sociale qui ont le statut de demandeur d’asile ne sont pas admissibles au programme

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Pourquoi les syndicats sont importants Ressources pour les membres

Vos cotisations syndicales pourraient s’avérer être votre meilleure assurance

Certains membres du syndicat se plaignent et ont des difficultés à rationaliser le payement d’une cotisation au syndicat. J’aimerais vous faire part de mes réflexions à ce sujet et je vous invite à consulter nos articles dans notre site web sur l’historique et avantages du syndicalisme pour chacun de nous. Les syndicats et les syndiqués avaient des exigences élevées pour notre pays : des normes en matière de santé et sécurité parmi les meilleures, des salaires couvrant les dépenses incontournables et des avantages faisant partie d’un ensemble de conditions du contrat d’emploi.

Nous nous attendons tous à pouvoir mener un niveau de vie raisonnable grâce à notre emploi, et ce, peu importe le genre de travail que nous effectuons. Et c’est ainsi que ça devrait être. Les syndicats ont travaillé d’arrache-pied pour assurer la mise en place de ces avantages et ils restent vigilants pour les protéger. Les cotisations versées au syndicat permettent à ce dernier de fonctionner en notre nom collectif. En fait, elles constituent la meilleure assurance pour un environnement de travail sécuritaire et salutaire, ainsi que pour nous assurer un niveau de vie raisonnable.

Ci-dessous, vous trouverez une liste de quelques-uns des avantages de l’adhésion à une organisation syndicale :

Des salaires plus élevés – un niveau de vie plus élevé

Les statistiques démontrent clairement que les syndiqués canadiens gagnent en moyenne 5,09 $/heure de plus que des travailleurs non syndiqués qui effectuent des tâches similaires. La différence est encore plus flagrante pour les employées qui gagnent généralement près de 6,00 $/heure de plus que leurs homologues non syndiquées. Seuls huit pour cent des membres du syndicat gagnent moins de 10 $/heure, alors qu’un tiers du personnel non syndiqué gagne moins que ça.

Les régimes de soins médicaux et de sécurité sociale constituent un filet de sécurité

Les avantages en milieu de travail comme le régime de retraite, le régime de soins médicaux et l’assurance dentaire ont un grand impact sur la qualité de vie d’une personne. Ceux et celles qui en bénéficient jouissent d’une plus grande sécurité, tant maintenant qu’à l’avenir. Les emplois syndiqués sont plus susceptibles de fournir de tels avantages que les emplois non syndiqués.

Les statistiques canadiennes nous révèlent que 80 pour cent des travailleurs syndiqués disposent d’un régime de pension, alors que seuls 27 pour cent des travailleurs non syndiqués en ont un. Dans le domaine de la santé, 78 pour cent des syndiqués jouissent d’un régime de soins de santé – cet avantage n’est accordé qu’à 40 pour cent des travailleurs non syndiqués. La situation est comparable en ce qui concerne l’assurance dentaire – cet avantage est accordé à 72 pour cent des travailleurs membres d’un syndicat, contre 38 pour cent des non-syndiqués.

Plus de temps à consacrer à votre famille

Les membres d’un syndicat s’en tirent de nouveau mieux en ce qui concerne les congés comme la longue fin de semaine du mois de mai, la Journée du Canada et l’Action de grâce. Sept syndiqués sur dix jouissent d’au moins quatre semaines de congés payés après huit ou dix années de service auprès d’un employeur. Plus de sept syndiqués sur dix ont onze jours ou plus de congés payés durant l’année.

L’adhésion au syndicat se concrétise par l’avantage du nombre

La plus grande différence en salaires et avantages découle du fait qu’avec un syndicat, les gens collaborent en vue du bien commun. Une personne isolée non syndiquée qui demande une augmentation de salaire à son employeur ou de plus longues vacances n’a aucun poids de négociation. Cette personne est entièrement à la merci de la Direction.

Un employeur n’a d’autre choix que d’écouter lorsque tout le personnel s’unit pour négocier des améliorations. Un syndicat permet aux parties de négocier sur un pied d’égalité.

La cotisation est un investissement rentable

Si les contrats syndicaux devaient être inclus aux nouvelles financières dans les médias, ils seraient probablement considérés comme des « valeurs exceptionnelles ». L’achat d’actions ou d’autres types d’investissements sont souvent un pari, mais investir de l’argent dans des cotisations syndicales est toujours intéressant et va toujours rapporter d’excellents intérêts.

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Information

Le programme de retour au travail de Pêches et Océans Canada

Pêches et Océans Canada vient d’achever la rédaction d’un document dans le cadre du Programme de retour au travail. Ce document est une version condensée d’un manuel qui a été récemment publié par le Secrétariat du Conseil du Trésor. Le document a pour but de fournir aux gestionnaires une information adéquate et les outils nécessaires pour offrir un soutien aux employés en convalescence afin d’effectuer un retour à un travail productif dès que leur santé le leur permet.

Ce document et les faits à l’appui pourraient également être utiles au personnel qui est en période de transition entre leur absence et leur retour au travail.

Le lien Intranet du MPO ci-dessous contient des guides, des documents sur les processus, des modèles et des hyperliens vers d’autres documents de référence qui pourraient intéresser tant les gestionnaires, que le personnel:

http://intra.dfo-mpo.gc.ca/hr-rh/relations/work-travail/work-travail-fra.asp

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Posez votre question à un coach de vie

Posez votre question à un coach de vie : Patron difficile

Question :

Comment traiter avec un superviseur difficile?

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Posez votre question à un coach de vie

Posez votre question à un coach de vie : Limite positive

Q. : Sara a une amie qui a toujours été là lorsqu’elle en avait besoin, mais son amie est toujours négative; elle ne peut passer une seule journée sans critiquer quelqu’un, qu’il s’agisse d’un collègue, d’un étranger ou d’une personnalité célèbre… Ça met Sara mal à l’aise, mais elle sait que son amie se fâcherait si elle lui en parlait…

R. : L’amie de Sara est manifestement malheureuse avec elle-même et aucune parole de Sara n’y changera quoi que ce soit. Sara doit établir une limite positive, elle doit s’éloigner de son amie lorsqu’elle atteint ses limites. Elle peut essayer de lui donner une image plus positive d’elle-même, de changer de sujet pour en aborder un qui aurait un aspect plus positif. Et finalement, questionnez-vous sur ce que vous retirez d’une telle relation négative.

 

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Posez votre question à un coach de vie

Posez votre question à un coach de vie : Habitudes alimentaires

Q. :  La première question est posée par Lisa… J’éprouve des difficultés à changer mes habitudes alimentaires. Je veux éliminer les aliments mauvais pour ma santé, mais j’ai de la difficulté à me discipliner. Auriez-vous des suggestions pour me permettre d’aborder le problème et pour me garder sur le chemin de la nourriture santé?

R. : Lisa, d’abord vous devez décider si vous le faites par envie ou par obligation. Ensuite, videz vos armoires de toute nourriture mauvaise pour la santé et sortez-la de votre maison. Fixez-vous des objectifs atteignables et accordez-vous des récompenses. Lorsque vous flanchez, demandez-vous s’il y a un choix à faire. Le cas échéant, lequel allez-vous faire? Est-ce que ce choix va vous rendre heureuse et vous rapprocher de vos objectifs à long terme? N’oubliez pas que si vous flanchez, vous pourrez toujours vous donner une nouvelle chance.

 

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Posez votre question à un coach de vie

Posez votre question à un coach de vie : Bâtir des relations

Question :

J’ai un nouveau directeur et, depuis son arrivée, j’essaye d’établir un rapport avec eux (je suisleur assistante administrative). Ça semble beaucoup plus difficile que je ne l’aurais jamais cru.Parfois, mon directeur ne m’adresse pas la parole de toute la journée. Ils me saluent rarement.Ces silences rendent la communication difficile. Ça rend aussi la situation très pénible etparfois même impossible, au point qu’elle m’empêche de remplir mes tâches ou de répondreà des questions qu’on me pose, car parfois je ne suis pas du tout au fait de ce qui se passe. Parexemple, pour connaître leurs intentions quant à d’éventuelles vacances.

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Ressources pour les membres Victoires syndicales

Pourquoi devriez-vous remercier votre mouvement syndical?

Les informations ci-dessous sont extraites (et parfois modifiées) d’un article écrit par Donna Ballman , « Give Thanks To The Labor Movement », affiché le 7 octobre 2011, à 8 h 55.

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Information

Vous vous posez des questions sur l’origine de la semaine de travail de Eh bien, c’est grâce aux luttes syndicales que les travailleurs et travailleuses jouissent d’une semaine de cinq jours de travail et de bien d’autres avantages.

La vie au temps de nos grands-parents était beaucoup plus dure. Ce que nous tenons pour acquisaujourd’hui n’existait pas à l’époque. Une journée de travail était longue. Les journées de quatorze heuresétaient monnaie courante et les pauses ne faisaient pas partie du vocabulaire! Il fallait débourser 5 centspour pouvoir aller aux toilettes, soit le salaire d’une heure de travail. Les semaines comportaient six joursde travail, ne laissant de libre que le dimanche.

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Information Victoires syndicales

Historique des syndicats au Canada

  • L’existence de syndicats au Canada remonte au début années 1800. Un document révèle que, durant la Guerre de 1812,  des artisans spécialisés des Maritimes ont créé une organisation de type syndical